Circuit vélo sacoche du 14 mai, le tour des Alpilles, deux Participants Joëlle et Michel.
J'ai récupéré ce parcours sur le net, comme d'hab il sera à titre indicatif.
Déjà nous ne respectons pas le lieu de départ, nous préférons partir de Senas. Suivi par Joëlle, trop confiant en moi, je me rends compte un peu tard de mon erreur, le passage à Eyguières n'était
pas prévu au programme. Nous avons contourné le Château de la reine Jeanne (Roquemartine), pour ceux qui connaissent.
Nous grimpons dans le massif par la côte du même nom, puis bifurcons vers Aureille et rejoignons Mouriès, par un petite route bordée d'Oliviers. En général les routes sont sympas, nous passons à
Maussane, Le Paradou, Fontvieille, pour rejoindre St Étienne du Grès nous sommes sur une voie assez passagère face au mistral, nous maintenons un bon rythme pour nous sortir de là.
A partir de St Étienne du Grès nous ne suivrons plus du tout le tracé, car de nouveaux aménagements cyclables ont été fait, la Méditerranée à Vélo, voie verte pour rallier Tarascon à Cavaillon.
Nous en emprunterons un tronçon, bien goudronné et bien indiqué, nous la quitterons pour rejoindre Eygalières puis Orgon et Senas.
88km au GPS, je n'avais pas prévu autant, c'est à cause de mon erreur du matin.
Circuit agréable dans l'ensemble, s'il n'y avait pas ce mistral tourbillonnant qui nous a perturbé toute la journée.
Si c'était à refaire, j'éviterais certains secteurs, quitte à faire plus que les 750m de dénivelé de la journée.
CR du 19 Aout 2022, balade à VTC dans le Luberon, 2 personnes Joëlle et Michel.
Nous en avons profité de faire cette balade après les épisodes orageux pour éviter les grosses chaleurs, le temps était légèrement couvert, nous avons été handicapé par un énormément mistral qui a soufflé tout du long de la journée.
Parcours trouvé sur le net, légèrement aménagé.
La trace ==> https://www.visugpx.com/9lEeGBb5kn
Visite de quelques villages et lieux emblématiques du Luberon.
Départ de Robion (parking derrière l'église), Maubec, Oppedes le vieux, Ménerbes, Lumières (allez voir l'église), Goult (jusqu'au sommet voir le moulin), Joucas (village bien sympa mérite le détour), ça monte jusqu'à Murs (le château, rues étroites, le chêne vénérable, 6,80 m de circonférence), col des trois Termes (574m), abbaye de Sénanque (cistercienne fondée en 1143), (éviter le sens interdit pour retourner à Gordes, la route est très étroite), Gordes (le village, village des Bories, s'il reste du temps). Possibilité de revenir à Robion (par la voie verte du Calavon), nous l’avons loupé.
La journée s’est terminée par une bonne boisson fraiche sous les platanes au bar à côté de l'église de Robion).
Beau parcours assez difficile, de belles montées, le vent soufflant par rafales nous nous sommes retrouvés assez souvent plantés ou bousculés par vent de côté, beaucoup de circulation vers Gordes.
Le Gps me donne 67km et 1500m de dénivelé,1120m une fois le parcours chargé sous visugpx, qui croire ?
Bel entrainement en vu de notre périple de septembre, les individus vont bien, petit soucis sur les vélos, les tiges de selle suspendues se desserrent et ne gardent pas leur niveau, commande de deux adaptateurs adéquats. Heureusement nous n’aurons aucune étape aussi difficile durant notre séjour.
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CR, Tour du Gard à vélo, 7 Jours de Tarascon à Tarascon.
Sortie CCL du 05 au 11 Octobre 2021.
Les Participants :
Christian Mauborgne
Bernard Leblond
Louis Deleuse
Michel Billon
Ce circuit initialement nous avait été donné par notre ami, Dany (Daniel Lemaire), qui est parti vivre dans le Gard, le tracé faisait 600km sur 10 jours.
Nous avons repris son circuit et avons supprimé la partie en bord de mer (Le Grau-du-Roi) que nous connaissons déjà. Les étapes ont été aménagées ou inventées pour faire un circuit de 7
jours. Disons que nous avons gardé l’idée générale, les parties Cévennes et centre Gard qui nous paraissaient les plus intéres
Nous devions faire cette sortie au mois d’avril, mais la Covid est passée par là, le confinement est venu contrarier notre projet.
Circuler à vélo dans cette région à vélo en été était impensable, nous avons donc attendu de meilleures conditions, d’une part météorologique et aussi sanitaire avec un mois d’Août incertain.
Une première date du 27 septembre au 3 octobre a été contrariée car notre ami Louis avait des impératifs à ces dates et heureusement, car un épisode cévenol s’est déclenché entre les 2 et 4 octobre. La cinquième personne prévue en avril, Bernard de Nice à déclarée forfait pour cause de santé.
Ce sont donc 4 participants qui ce sont retrouvées le premier jour à Tarascon, chaque vélo équipé de sacoches pour transporter les bagages durant 7 jours.
Christian toujours avec son vélo pliant électrique, Bernard l’inconditionnel du musculaire avec son vieux VTT Lapierre, Louis au dernier moment a récupéré le Moustache Samedi 27 de son épouse et Michel comme depuis des années son VAE Giant Full E1 équipé pour le besoin de pneus route et d’un porte bagage.
Le premier jour, étape de 93 km et 550 m de dénivelé, nous a amené de Tarascon à Quissac, en passant par Nîmes, puis en empruntant la voie verte de Sommières à Lecques (fin de la voie verte), qui plus tard rejoindra Quissac. Je tiens évoquer notre arrivée à l’hôtel de Quissac, nous avons reçu de l’hôtelier un accueil hors du commun. Ce dernier à prêté sa voiture à Bernard pour qu’il puisse aller changer son pneu endommagé à 15 km du village, il nous a réservé nos places au restaurant ou franchement les portions étaient plus que copieuses, accompagnées d’une bonne cassolette de ceps offerte par le cuisinier. Autant dire que l’ambiance était joyeuse de retour à l’hôtel.
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Deuxième jour, nous nous attendions à un gros morceau et nous l’avons eu, départ de Quissac pour aller au hameau de Navacelles au fond du cirque avec 83 km et 1200 m de dénivelé, le vent de face en plus.
Au début nous emprunterons de petites routes bordées de vignes, puis à Le Claret nous monterons sur un plateau désertique. Ensuite le tracé descendra jusqu’à Ganges, ou nous quitterons les bords de l’Hérault pour prendre les magnifiques gorges de la Vis, la route montera de plus en plus dure jusqu’à St Maurice de Navacelles à plus de 600m d’altitude. Après une halte au belvédère d’Auriol nous redescendrons dans le cirque de Navacelles jusqu’à notre hébergement..
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Troisième jour, encore un gros morceau surtout en terme de dénivelé, nous avons fait 59km mais 1450 m de dénivelé.
Il a fallu s’extraire du cirque de Navacelles en montant côté belvédère de Blandas. A Vissec nous nous retrouvons au niveau de la Vis que nous longerons jusqu’à Alzon. La route remontera jusqu’à Sauclières presque dans l’Aveyron, puis de nouveau une longue descente nous fera passer à St Jean de Bruel, pour mieux remonter jusqu’au gîte de Dourbie situé à 900m d’altitude.
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Quatrième jour, le vent s’est calmé et c’est tant mieux, car aujourd’hui nous devons monter au sommet du Mont Aigoual, sachant que ce dernier a une très mauvaise réputation niveau climat.
L’étape de Dourbie au Mont Aigoual, faisait 54km et 1350 m de dénivelé.
La descente jusqu’à Trèves plutôt frileuse contrastait avec la montée au soleil jusqu’à Lanuéjols. Pour respecter le Tour du Gard nous avons fait un détour pour frôler la Lozère. A partir de là, la route n’arrêtera pas de monter jusqu’à Prat Peyrot, puis le sommet du Mont Aigoual, nous arriverons au gîte émerveillés par le panorama à 360 degrés sur la région et toujours pas un souffle de vent.
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Cinquième jour, avec beaucoup de dénivelé négatif nous irons jusqu’à Ales notre destination, avec 86km, 700m de dénivelé positif et environ 2000m de dénivelé négatif.
Exceptionnel et tout le monde était unanime, pas un souffle de vent, il faisait même doux au sommet. Après avoir observés le levé du soleil vers le mont Ventoux, nous entamons notre descente bien couvert, un petit raidillon de 200m viendra interrompre notre descente jusqu’à Saint Jean du Gard. Après la montée au col d’Uglas, nous nous laisserons aller jusqu’à Ales.
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Sixième Jour, non regrettons nos paysages de montagne, le secteur est très urbanisé, une fois arrivés à Pont St Esprit nous aurons fait 75 km et 600 m de dénivelé.
Heureusement le parcours était agrémenté par la visite de nombreux villages médiévaux. Nous ne manquerons pas de nous arrêter chez notre ami Dany, à proximité de pont St Esprit pour lui raconter nos aventures.
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Septième et dernier jour, si nous avions été respectueux avec le tour du Gard nous serions restés rive droite du Rhône, mais maintenant il existe une voie spéciale pour les vélos sur la rive gauche du Rhône dans le Vaucluse, la ViaRhôna et c’est cette voie adaptée aux vélos que nous suivrons.
De Pont St Esprit à Tarascon par le ViaRhôna nous avons fait 82km et 150m de dénivelé.
Nous irons traverser le vieux pont, un fort mistral nous prend de côté, jusqu’au moment ou la voie oblique par la droite, nous avons enfin le mistral dans le dos. Le pédalage devient très facile, les km défilent jusqu’à Avignon ou la ViaRhôna passe rive droite du Rhône. Arrivés à Aramon nous repassons rive gauche pour retrouver les voitures garées chez un ami de Louis.
Trace gpx, clic è https://www.visugpx.com/L2uTwm8eKJ
Une semaine formidable, d’une part par le temps, mais aussi par la parfaite entente entre les participants et les belles rencontres que nous avons fait.
Louis avec son vélo électrique Moustache samedi/27, a fait baver tout le monde avec son autonomie et sa roulabilité, à tel point que nous sommes deux à vouloir le même.
Bernard toujours impérial avec son musculaire est resté hermétique aux vélos électriques, malgré quelques problèmes il pense remplacer son vieux Lapierre, par un autre musculaire.
Durant la semaine nous avons évoqué plusieurs possibilités de randonnées cyclotouristes, rien est arrêté, mais rendez vous est donné dès que possible, y compris Louis qui à plus qu’apprécié la discipline.
Au total, sur 7 jours de vélo nous avons fait 532 km et environ 6000 m de dénivelé.
Pour voir les photos, clic ci-dessous
Michel B
CR deux jours de Sisteron à Sisteron, vélo avec sacoches. Les 4 et 5 mai 2021.
Ci-dessous le reportage photos !
https://1drv.ms/u/s!AlvXJZ7b-aXx3VRQ1qsEMmhb7ztQ?e=LU7NbE
Premier jours le 4 mai, depuis hier le 03 mai 2021, c’est la première phase du déconfinement et ça tombe très bien car nous n’avons plus la limite du kilométrage, pour le reste nous nous débrouillerons.
Un parcours en huit, de Sisteron à Sisteron sur 2 jours que nous avions sous le coude depuis l’an dernier, les confinements successifs ne nous ont pas permis de le faire.
Joëlle, Christian et moi Michel B, sommes dans les Startings Block, il reste toutefois quelques détailles à régler.
Christian, le Baron de Booking nous trouve un gîte ouvert à Montbrun les bains, avec petit déjeuner. Un miracle car tous les hôtels et les restaurants sont fermés, le gîte ouvre pour la première fois de l’année, nous sommes ses premiers clients. Juste un détail comment diner ? C’est le propriétaire qui nous donne la solution, il y a un Super U à Montbrun le Bains et son gîte est équipé d’une cuisine partagée avec tout ce qu’il faut.
C’est l’esprit tranquille que nous partons sous un beau soleil de la gare de Sisteron, il fait un peu frais. Nous évitons le centre de Sisteron par une petite route tranquille, c’est là que nous commençons à apprécier, le silence, le soleil, la liberté et ce superbe paysage de montagnes. Nous roulons jusqu’à Ribiers, puis nous prenons la direction de Séderon en passant par les gorges de la Méouge. Ca monte, ça descend mais nous prenons de l’altitude jusqu’à Séderon, c’est ensuite qu’arrive le gros morceau. Pente à 4 puis 6 puis 8% pour arriver au col de Macuègne à plus de 1000m. Une longue descente tortueuse avec comme point de mire le mont Ventoux, nous conduira jusqu’à Montbrun les Bains.
Tout se passe comme prévu, courses à Super U, visite du village, une bonne bière avant notre plâtrée de raviolis à la tomate, les chambres chauffées et confortables sont à la hauteur de l’accueil que nous a fait le propriétaire.
Le lendemain, devant notre petit déjeuner nous constatons qu’il pleut, mais pas de quoi nous décourager. Nous remontons par une superbe route la rivière du Toulourenc, les Gorges d’Aulan, jusqu’au col du même nom à 845m. Nous sommes dans la Drôme provençale, les routes sont tranquilles, nous resterons un bon moment dans les environs de 800m d’altitude, la route est bordée par les champs de lavande, malheureusement pas encore en fleur. Nous croiserons une deuxième fois Séderon pour ensuite monter au col de la Pigière à 968m. A partir de là, la vallée du Jabron dominée par la montagne de Lure est toute en descente jusqu’à Sisteron, que du Bonheur !
Ces deux superbes journées d’évasion, nous ont donné envie de recommencer. A la prochaine.
J1 Sisteron – Montbrun les Bains, 62km 1028m D+ https://www.visugpx.com/OFLdYZBgED
J2 Montbrun les Bains – Sisteron, 63km 850m D+ https://www.visugpx.com/xN70LHqFNz
Michel
Préparation Rando Alpine du CCL 2021
En Vu de l'organisation d'une rando Route Alpine cet été, voici un programme qui reflète assez précisement le futur cadre de celle-ci, si une fenêtre devait s'ouvrir pour la réaliser comme l'an dernier.
Afin d'anticiper, il nous faudra savoir quelles personnes pourraient être intéressées et ceci au plus tard le 15/03/21.
Un doodle destiné aux personnes souhaitant effectuer l'intégralité du séjour mais pas forcement l'intégralité de la distance sera bientôt disponible pour le choix de la date de départ qui sera comprise entre le 21juin et le 28 juin.
cette Rando est prévue sur 8 jours mise en place incluse.
Une possibilité de repos dans la ou les voitures suiveuses est possible durant le séjour et s'organisera en fonction des souhaits et places disponibles.
Donc date de retour à Lambesc entre le 28 juin et le 06 juillet.
La date effective de départ en fonction du sondage Doodle sera choisie le 16 Mars 2021 mais restera légèrement modulable à 1 ou 2 jours près en fonction de la météo jusqu'à la semaine précédente.
Un second Doodle pour les personnes souhaitant participer partiellement sera également disponible après le choix définitif des dates.
Budget estimatif: 1000E par personne.
Programme:
Jour 1: Mise en place à Nice le matin suivie d'une mise en jambe dans l’arrière pays Niçois de 50km et 1000m de D+
Jour 2: Nice —— La Colmiane : 100km, 3300m D+
( Par les cols de Nice, Braus, du Turini et St Martin).
Jour 3: La Colmiane —— Sambuco : 84km, 2150m D+
( Par le col de la Lombarde. Option 128km, 3140m D+ avec en plus La Madona del Colleto).
Jour 4: Sambuco —— Sampeyre : 103km, 3220m D+
( Par les cols Dei Morti et de Sampeyre ).
Jour 5: Sampeyre —— Guillestre : 73km, 2010m D+
( Par le col d’ Agnel ).
Jour 6: Guillestre —— Barcelonnette : 95km, 2710m D+
( Par les cols de Vars et la Bonette ).
Jour 7: Barcelonnette —— Castelanne : 122km, 2450 D+
( Par la montée de Pralou, les cols d’Allos, St Michel et Toutes Aures).
Jour 8: Castelanne —— Lambesc : 143km, 1540m D+
( Par le Col de l’Olivier, Moustier Ste Marie, le Pas de Laval, Valensole ).
Total: 814km, 19370m D+
Une version Franco Française sera élaborée en cas de frontières ou hébergements en Italie fermés.
Prévoir entre 4000 et 5000km dont 2000 de spécifique d'ici Juin pour pouvoir la réaliser et en garder un bon souvenir...
Rando ouverte aux Vélos de route à assistance électrique.
C'est parti...pour le foncier hivernal !!!
Bonne Route.
Tour du Comtat Venaissin à vélo 29 et 30 janvier 2020 :
Une petite rando toute douce au cœur de l’hiver,
3 participants : Michel B (VAE), Bernard L (Muscu) et Christian M (VAE).
Le Comtat Venaissin ou, par ellipse, le Comtat1, est un ancien État qui faisait partie des États pontificaux. Il a été fondé au Moyen Âge en 1274 et a été totalement dissous le 14 septembre 1791.
C'est aujourd'hui une partie de l'actuel département français de Vaucluse, qu'il recouvre presque entièrement, entre Rhône et Durance, mont Ventoux et Dentelles de Montmirail, comprenant les villes de Carpentras, Vaison-la-Romaine, L'Isle-sur-la-Sorgue et Cavaillon.
Avignon était par ailleurs une cité-État depuis son rachat en juin 1348 par le pape Clément VI.
Il a donné son nom, en 2003, à la Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin ou COVE, dont le territoire s'étend sur approximativement un tiers du Comtat
Road Book ici
Départ du parking de la coulée verte au nord de Carpentras (64 km de Lambesc)
J1 Carpentras-Mormoiron 57 km, 830 m D+ (visugpx) Trace GPS du J1
Via Loriol du Comtat, Aubignan, Beaumes de Venise, Le Barroux, Caromb, Modène, Crillon le Brave, Bédouin, Flassan,
Hébergement et table d’hôtes à Mormoiron : au Brabo 99 route du pont tel 04 90 34 89 83
J2 Mormoiron –Carpentras 58 km, 560 m D+ Tracé GPS du J2
Via Méthamis, Mazan, Vénasque, Le beaucet, Roques sur Pernes, St Didier, Pernes les Fontaines, Carpentras.
Reportage photos (Michel) :
31/01/2020
Bonne nouvelle de Nice
Attention nous revoilà !....... Aujourd'hui 1er Sortie Route après quelques mois sans vélo. Même pas mal. Bises à tous et à bientôt. Louis&Bernard.
Voyage anniversaire en Patagonie, Chili et Argentine, Joëlle et Michel, Février 2019.
Photos, Ushuaïa, le Phare du bout du monde, le Cap Horne, pingouin, Guanacos, Tores del Paine, le Fitz Roy, Perito Moréno, et randonneurs.
Nous sommes de retour de Birmanie. Un de mes plus beaux voyages. Si cela intéresse les membres du CCL je tiens à leur disposition mon programme de voyage (lieux visités, hôtels, etc...) ainsi que les noms et contacts des chauffeurs/guides que nous avons utilisés. Ne pas hésiter à me contacter si un des membres du CCL programmait un voyage dans ce beau pays.
La meilleure période pour se rendre en Birmanie est de début novembre à fin février. L'idéal semblant être janvier car pas une goutte de pluie, et presque pas de moustiques.
Gérard VIGNE
La famille Billon souhaite marquer le coup en ce début d'année 2018.
Un petit pps est joint.
Bonne année à tout le CCL
Jo et Mich
Un petit peu du CCL au Chili.
Autant vous le dire tout de suite, cette sortie ne fut pas qu’une partie de plaisir, ici c’est de la montagne pur et dur...et comme c’est loin d’être mon exercice préféré dès que les pourcentages
dépassent 8 ou 9%, j’ai été gâté. La météo s’annonce parfaite avec environ 20º tout le temps car l’augmentation de la température étant compensée par l’élévation du cycliste...à peu près pour les
puristes.
Départ de mon hôtel à 7h ce matin pour 15km d’échauffement entre 2 et 5%, puis encore 9km à environ 4% de moyenne et j’attaque le dur, en théorie il me reste 30km à faire mais là ou le bas blesse
c’est qu’il reste 2300m de dénivelé à faire sachant que les 15 derniers kilomètres sont à 7% de moyenne, donc je comprends à ce moment que les 15 km à venir seront en gros à 10%...et la suite
confirmera ce calcul que j’aurais pu et du faire avant...car je m’arrêterai finalement dans la douleur au bout de ces 15km avec des crampes en pagaille et un sentiment d’échec sur le
moment.
Après 45min pour récupérer des crampes entre autres et faire quelques photos, je repart pour une descente de 40km entrecoupée de quelques toutes petites remontées que j’avais bien identifiées à
l’aller car elle m’avaient permis de souffler un peu.
Arrivée à l’hotel après 4h23 de vélo et 80km et donc 18 de moyenne, je décide de tester les talents des masseuses de l’hôtel encore jamais tester...si si, promis juré, talents qui m’avaient
pourtant souvent été vantés par des membres d’équipages lors de mes précédentes escales sur place.
Et là je dois dire que j’ai profité de ce moment de récupération pour apprécier tout de même cette belle sortie et me dire qu’il faudrait que je revienne pour terminer le travail, je veux bien
sûr parler de l’ascension jusqu’à Valle Nevado.
Que c’est beau le vélo 😀 mais que c’est dur parfois...heu souvent en fait...
A mardi si tout va bien et Viva Chile!!!!
Christophe
Jean-Marc Lugaro
stakhanoviste du cyclisme
Pour beaucoup, Jean-MarcLugaro serait fou. Fou de vélo.
À58 ans, le cycliste de Lambesc enchaîne des performances remarquables : 35000 kilomètres parcourus en 2016 et près de 37 000 prévus en 2017. Le chaud goudron provençal n’a jamais réussi à faire fondre sa passion pour la route.
"Je me fixe des objectifs, insiste le Parisien, dans le Sud depuis 10 ans, je fais du vélo depuis 33 ans et j’aime ça". Aimer est un euphémisme. Le coureur a prévu cette année de réaliser son septième "365". Autrement dit, une année entière à enfourcher, tous les jours, son deux roues profilé. Plus incroyable encore, il a réussi le pari lancé par son ami Rémi Pauriol : faire 1000 jours consécutifs de vélo, soit 2 ans et demi sans interruption.
"Je vais même parfois voir ma petite fille en deux roues. Je dois être le roi du Lambesc-Cannes" , plaisante l’homme, avec la jovialité qui le caractérise. Malgré cette gloutonnerie de la route, il arrive à concilier travail, vie de famille et passion. Ce stakhanoviste de la bicyclette peut aussi compter sur le soutien de ses compagnons
d’échappée. Pas question d’abandonner un objectif.
"C’est Rémi qui me remotive pour rouler", insiste celui qui fera, avec l’ancien de Cofidis, la course d’endurance des 24 heures du Castellet. En guise de préparation pour cette course un peu spéciale, un régime assez indigeste : 750 kilomètres hebdomadaires. À titre de comparaison, un cycliste professionnel, hors compétition, roule environ 600 kilomètres par semaine.
"Ceux qui me connaissent comprennent. Même s’ils me disent de faire attention à ma santé",souligne le forçat de la route, qui a quelques grandes courses d’endurance à son compteur : quatre Bordeaux-Paris et deux Paris-
Brest.
Depuis novembre 2016, le passionné s’est même trouvé une nouvelle source de motivation: les challenges. Application bien connue des cyclistes,
Strava propose des challenges mensuels "distance", qui permettent aux plus téméraires de comparer leur performance.
Avec 763 kilomètres au c o m p t eur en février, Jean-Marc Lugaro est 3ème du classement.
Ce n’est qu’un début.
Nathanaël VALLA-MOTHES
Un de plus chez les BILLON
Ce matin tôt, est née Juliette, dit le 5ème élément, puisque déjà 4 petits enfants.
Même si le Papy aurait préféré un petit VTTiste, Juliette est née le 15 Janvier comme son arrière Grand Mère, bienvenue à Juliette.
A bientôt sur les chemins
Joelle et Michel Billon
Le Vélodrome de Lambesc: 1896-1926
Le vélodrome de Lambesc était implanté, en partie sur le rond Point et en partie sur le parking de Casino. Il était en terre battue et a fonctionné jusqu'en 1926. Abandonné par la suite, il s'est dégradé rapidement et les anciens se souviennent uniquement de l'emplacement. Il a vraiment disparu avec la création des routes.
Il existe au musée du Vieux Lambesc un fascicule qui donne quelques explications complémentaires.
Merci aux adhérents qui m'ont apporté divers renseignements
Paul
Notre ami Jeannot a 70 ans:
Pour l'anniversaire de Jeannot, Roland S et ses amis de la route avaient décidé de lui faire une surprise. à 16h, après une sortie route marquée par la fraîcheur les routards sont arrivés chez Jeannot, Sirianne avait préparé un petit cadeau (un week end en amoureux) et mis dans la confidence Dan. Les vététistes étaient présents également pour cette petite fête. Dans un discours remarquable que personne n'a écouté, le secrétaire a évoqué la longue carrière de Jeannot au sein du CCL, son implication personnelle au sein du CCL, il a fait partie du bureau durant quelques années, il a participé à tous les séjours d'une semaine, il est souvent présent aux sorties où il est la locomotive du peloton. Il a bien un peu testé (en Camargue) le VTT mais ce n'est pas sa tasse de thé. Depuis quelques années, Jeannot est également un généreux donateur en nous offrant une subvention supérieure à celle de la Municipalité et l'an dernier, il a pris à sa charge l'organisation de la Jacques Brasseur.
C'est donc dans la joie et la bonne humeur que nous avons fêté l'anniversaire de notre ami Jeannot et nous terminerons par son expression favorite:
<TOUT VA BIEN>
Paul
Randonnée vélo au fil du Rhône sur la Viarhôna ou VR17 . De Genève à Port saint Louis du Rhône
Période : du 22 Aout 2016 au 1 Septembre
Participants du Cyclo club de Lambesc :Dany Lemaire et Claude Gibert avec2 copains du Cyclo club de Coudoux Jean Pierre et Daniel
Les Vélos : VTT avec pneus lisses et étroits /2 sacoches et un sac sur porte bagage /
Les étapes : 10 étapes de 80 Km environ avec hébergements retenus a l avance en chambres d’hôtes / Bungalow/ Hôtel /Auberge de jeunesse
Transport Aller en TGV Avignon / Genève avec compartiment spécial vélo
Les journées : départ 8H30 Pique Nique le Midi !!! Bière a l arrivée et Resto le soir .
Le Tracé : sur cartes détaillés et enregistrement GPS
Au total 830 Km en comptant les visites Et 1000 M de dénivelé ( Sur 10 jours ).
Parcours roulant sur piste cyclable la plupart du temps . Très agréable et varié, bien balisé sauf dans le Vaucluse et Bouches du Rhône
Les ennuis : Quelques crevaisons et changement de Pneus mais rien de grave
Les inconvénients. Grosse chaleur et soleil de Plomb sur tout le parcours ce qui devenait pénible l après midi
Bonne entente dans le groupe
Claude
Grande Traversée de Vaucluse (première partie)
4 étapes, 4 jours, du 7 au 10 octobre 2016 réalisée en semi-autonomie (pas de voiture suiveuse, sac de 7/8kg + sacoche de guidon et nuits en hôtel/chambre d’hôte)
Participants : Bernard L (organisateur) vam, Michel B vae, Christian M vae
Logistique : 2 véhicules, l’un déposé en passant à l’arrivée qui nous permettra de récupérer l’autre laissé au départ.
Coût : environ 180€/personne (1/2 pension, pique-nique du midi et bières)
Le tracé serpente sur les deux faces du Mont Ventoux ainsi que dans les dentelles de Montmirail puis les Monts de Vaucluse. 179 km, 6798m D+, 6902m D- (données carto). C’est du lourd ! L’engagement n’excède pas le V4 avec un niveau moyen situé à V3+. C’est souvent cassant, technique, éprouvant pour le matériel et le pilote.
Premier jour : vite dans le bain, ça promet ! Savoillans à Malaucène
Rendez-vous chez moi à 8h15 le vendredi matin. Chargement des véhicules et départ. Au passage on laisse la voiture de Michel à St Saturnin lès Apt. Arrivée vers 10 h 45 à Savoillans au fond de la vallée du Toulourenc. Il fait beau, un peu frais, idéal pour le vtt. Photo devant le panneau de la GTV et départ….. on tape directement dans le dur car le tracé suit le GR 91 avec de longs et pénibles portages (1 heure et demi) avant d’atteindre la crête où on peut enfin souffler et se restaurer. Le moral en a pris un coup , on se dit que si la suite est à l’avenant, ça sera vraiment difficile…
[Heureusement, il n’en est rien : cette première montée s’avèrera en fin de compte la plus exigeante des 4 jours.]
Après le casse-croûte, on entame une longue descente technique sur Brante (cailloux, blocs), suivie d’un gros coup de cul sur piste (col de Fontaube, puis col du Conte) pour enfin accéder à la longue descente sur Malaucène. Il est déjà 18 heures, le ciel est couvert et il ne fait pas très chaud. Changement de plaquette AR pour moi, petite bière et courses pour le pique-nique du lendemain avant de rejoindre notre maison d’hôtes « Aux tournesols ». Nous y apprendrons que cette première étape, quoique la plus courte de la GTV est aussi la plus difficile. D’habitude les VAE la shunte à cause des portages !
Au final :33 km, 1546m D+, 1720 m D-
Deuxième jour : ça va mieux ! Malaucène à Bedoin
Ciel bleu et grand soleil dès le matin. Départ 9h20. Le deuxième jour commence avec un bon poussage (gros cailloux) qui nous mettent directement dans le bain. Heureusement ça ne dure pas trop longtemps. En haut le panorama sur les dentelles de Montmirail est grandiose. Elles sont encore très éloignées mais le tracé, par une succession de montées/descentes tantôt sur routes, sur pistes, ou sur chemins va nous en rapprocher inexorablement. Un groupe de 6 jeunes vététistes nous rattrape en haut de la crête de st Amand et nous roulons ensemble pendant un bon moment. Ils suivent également les balises rouges de la GTV, et on les reverra souvent par la suite. Première crevaison de Michel.
Pique-nique très cool au soleil sur un banc près de la fontaine dans petit village de Lafare.
On repart et ça continue de monter/descendre. Les chemins sont moins caillouteux (en sous-bois) et c’est beaucoup plus sympa qu’hier. On passe au Château de Barroux (deuxième crevaison de Michel ) Les jeunes nous passent, on les rattrapera plus loin au lac du Paty, superbe. Ce n’est pas fini, il y a encore de beaux singles, de belles montées avant de rejoindre Bédoin ou plus exactement 5 km plus loin, l’hôtel le Guintrand au hameau de St Colombe sur la route du Mont Ventoux. Changement de plaquettes AR pour Michel
L’étape du jour : 47km, 1965m D+, 1828m D-
Troisième jour : direction le ventoux ! Ste Colombe à Sault
Une ascension de 15 km et de plus de 1000m d’une traite nous attend ce matin une fois que nous aurons rejoint le tracé. Heureusement le vent froid qui s’était levé hier après-midi peu avant notre arrivée à l’hôtel est tombé dans la nuit. Il fait beau.
La montée par la piste jusqu’au Chalet Reynard est éprouvante même en vae, car il nous faut absolument économiser l’énergie électrique si on veut arriver au bout de l’étape. (hier il ne me restait que 8% de batterie en arrivant à l’hôtel). Alors mode éco jusqu’au bout. La piste est assez large, pas trop pentue, pas trop caillouteuse, alors ça va. Mais c’est long ! Notre ami Bernard est vraiment épatant, il mène son petit train sans défaillir. Chapeau ! En chemin on rattrape des vététistes italiens venus exprès pour le Ventoux, et notre groupe de jeunes de la veille en train de réparer une crevaison..
Enfin la piste descend et nous atteignons le Chalet Reynard. IL est un peu plus de midi. Le ciel s’est bien chargé, il y a du vent et nous sommes frigorifiés. On ne nous autorise pas à pique-niquer à l’intérieur du chalet alors on ne va pas moisir ici. On se dépêche de casser la croûte pour pouvoir repartir au plus vite. On décide de shunter en partie une petite boucle pour diminuer un peu le D+ de l’après-midi. On bascule donc rapidement sur le versant Nord du Mont Ventoux sur un sentier escarpé en balcon ludique et technique. Une nouvelle bascule sur la face Est nous conduit par une longue et rapide descente « single » vers Aurel. Le ciel s’est à nouveau dégagé, le soleil brille tout va bien !
D’Aurel il nous faut remonter un peu sur le plateau avant de pouvoir redescendre sur Sault. Il n’est que 16 heures, on va pouvoir s’installer tranquillement dans nos chambres à l’hôtel d’Albion, prendre une bonne douche avant d’aller « en ville » acheter les provisions pour demain et déguster une bonne bière au soleil en terrasse panoramique.
J3 : 58 km, 1898m D+, 1585m D-
Quatrième jour : petit dénivelé qu’ils disaient ! Saultà St Saturnin-lès-Apt
Il fait très beau ce matin, un peu frais, le temps est idéal. On part plus tôt (8 h30) car ce soir nous aurons pas loin de 3 heures de conduite pour récupérer le Toy’ à Savoillans et rentrer sur Lambesc.
On roule tranquille dans la plaine jusqu’à Monieux où on pénètre dans les gorges de la Nesque. Le chemin se resserre et devient de plus en plus technique au fur et à mesure de la progression. Ca monte et ça descend sans arrêt. On pousse souvent. Ca devient plus facile et plus roulant quand on quitte les gorges pour rouler sur le plateau des monts de Vaucluse. Pique-nique farniente dans l’herbe au soleil à l’abri du vent au milieu des champs de lavande. Ca roule encore facile au début de l’après-midi. Puis la descente sur St Saturnin se fait par une succession de sentiers monotraces entre les vallons rocheux, entrecoupée d’autant de remontées pierreuses. Ca n’en finit pas. L’ami Bernard est cuit. Mais il s’accroche…
Une dernière descente et c’est l’arrivée salvatrice à St Saturnin. Photo, chargement du matos, bière et retour (c’est long) à Lambesc.
J4 : 49 km, 1389mD+ (900m sur le papier !), 1769 m D-
Fin de la première partie de la GTV.
Il nous reste 3 étapes :
St Saturnin à Vitrolles en Lubéron
Vitrolles à Lauris
Lauris à Mérindol
C’est dans le Lubéron et plus près de chez nous. Au printemps prochain ?
Merci l’ami Bernard pour l’organisation (parcours, résas…) et chapeau pour avoir vaillamment tenu le coup sur un tracé qui était un vrai défi ! Je crois que tu as encore de belles années de v.p.u.m* devant toi avant de penser au v.p.m**
*Vpum : Vélo à propulsion uniquement musculaire.
**Vpm : Vélo à propulsion mixte
Christian M
CR 90km autour de l’étang de Berre à VTTAE du 16-09-2016, 1 participant.
Mon projet de ce vendredi 16 septembre : aller sur un parcours VTT pour repérer de Saint Chamas à Martigues en longeant au maximum les bords de l’étang de Berre. A Martigues si tout va bien je continue le tour de l’étang, sinon je reviens à Saint Chamas par la route.
La météo annonce une journée nuageuse avec risque mineur de pluie, je décide tout de même de partir tôt le matin, direction ST Chamas, quelques flaques d’eau sur la route mais il ne pleut pas.
Depuis quelques temps j’avais préparé mon parcours, au préalable j’avais déjà fait quelques repérages, je savais que je me lançais sur une longue journée d’environ 90 km, avec du véritable VTT jusqu’à Martigues
Me voici à St Chamas il fait frais, un coup d’œil au ciel pas du tout menaçant mais assez nuageux, j’emprunte un parcours connu jusqu’à l’étang de l’Olivier et Istres. En arrivant en bordure de l’étang de Berre, je m’aperçois qu’il y un balisage du GR 2013, je vais le suivre jusqu’au Ranquet, c’est beaucoup mieux et plus efficace que mon tracé gpx. Je passe à Proximité de Saint Mitre les Ramparts, mon parcours me mène jusqu’à Martigues toujours en longeant l’étang. Seule une énorme flaque de boue collante retarde ma progression, nettoyage oblige. Arrivé à Martigues j’ai fait 32 km, je fais le point, il est 11h et il me reste 66% de batterie, aucune menace de pluie à l’horizon. Je décide de continuer, sachant que j’estime sans certitude ma distance restante à 60km. Contrairement à ce que je venais de faire le parcours sera plutôt plat avec beaucoup de routes, c’est donc jouable.
La traversée de Martigues est laborieuse je comptais rester au bord de l’étang, mais je me retrouve enfermé dans une propriété, heureusement une charmante dame m’ouvre le portail. J’empreinte des sens interdits, des trottoirs pour finalement retrouver ma route, il faut vraiment peaufiner cette traversée. Ensuite effectivement il y a de la route je traverse la Mède, j’essaie d’économiser ma batterie, au milieu de la plage du Jaï après avoir fait 45km, milieu présumé du parcours, il me reste 59%, (ça devrait aller), je continue à rouler sans assistance on ne sait jamais.
Pause pique nique sous quelques gouttes de pluie et tonnerre, je lève la tête c’est seulement un avion de ligne qui passe. Je traverse Gardanne, il faut que je contourne l’aéroport, et là c’est un grand moment de solitude, je me retrouve sur un énorme échangeur des voitures partout il faut pourtant que je passe devant Eurocopter. Je me mets en mode Sport pour dégager au plus vite, ça circule et ce n’est pas l’heure de pointe, j’agite mon bras à chaque sortie pour montrer mon intention, je me dégage enfin de cet enfer. Vers Rognac je retrouve le calme au bord de l’étang, des odeurs de cuisine partout, des gens attablés en terrasse me regardent passer avec étonnement, mes deux tranches de jambon sont loin, je m’arrêterais bien, mais il faut continuer. Encore une fois il faudra peaufiner la sortie, je franchis un portail avec panneau (entrée strictement interdite), c’est un camping j’arrive à sortir incognito.
Sur la national 113, ça roule mais les bordures sont larges. Direction Berre l’Etang, quelques odeurs désagréables en passant devant l’usine Pétrochimique de Berre. A Berre l’Etang je suis surpris par les superbes aménagements vers le port de plaisance. Toujours ou presque en sens interdit, je retrouve mon chemin, il faudra faire mieux la prochaine fois. Le mistral c’est levé je le prends en pleine face, merci le VAE. Je dérive ma route et passe le long de l’Arc jusqu’à la plage des Merveilles que nous connaissons bien. Obligé encore de prendre la route par allez à St Chamas tout proche, je fais un détour par la petite Camargue. J’avais oublié qu’il avait plu, encore de la boue mais celle-ci elle ne colle pas heureusement. Je vais rejoindre St Chamas en allant visiter le magnifique lavoir des Contagieux.
Je ne me suis pas trompé de beaucoup, j’ai fait 89km, et surprise 756m de dénivelé, en pédalant souvent sans assistance, il me reste 33% de batterie. Pas du tout de pluie de la journée, ça valait le coup de prendre des risques.
Je pense que cette aventure est vraiment destinée aux VAE, mais c’est faisable sans assistance il faut savoir qu’il y a beaucoup de route, et la distance est conséquente.
Michel B
Troisieme jour de notre raid vtt. Du très beau vélo une météo et des paysages magnifiques. Tout se passe bien. La Transverdon, du col d'Allos à Manosque en 6 jours est vraiment un must.
Cri avec Dany, Bernard et Michel
240 km à VTT AE, sur deux jours.
Depuis longtemps j’avais en tête un projet, de partir de Lambesc pour aller chez un ami à Ribiers au dessus de Sisteron et retour. Au meilleur de cas il y a 150 km à l’aller et 150 km pour le retour, que j’avais l’intention de faire en deux fois deux jours, Mais madame passa par là, elle considérait que deux fois deux jours était trop long et contraignant, j’ai donc revue ma copie.
Puis sont arrivés les VAE, celui de Joëlle et depuis peu le mien, j’ai donc reconsidéré le projet avec ces nouvelles machines, l’inconvénient est qu’il n’est pas facile de transporter de nombreux bagages avec ce type de vélo, sauf avec une éventuelle remorque que je n’avais pas.
Mon transport de bagages sera résolu par mon ami lui-même, il les apportera chez lui à Ribiers et nous les ramènera à l’occasion. La durée du voyage sera d’une journée, à l’aller et une journée au retour. Nous partirons de Pertuis pour réduire la distance à 112km donné par CartoExplorer, le parcours sera celui que nous avons déjà emprunté avec Christian M, de Ribiers à Lambesc sur deux jours, avec la tente et sans VAE.
Le lundi 5 juillet, les VAE chargés dans la voiture, il est 8h nous voilà près à partir de Pertuis. Je ne trouve pas le bon chemin, alors petite innovation je suis un canal parallèle à mon tracé. Vu sur Carto, le profil du parcours est montant, nous partons de 220m pour arrivé à 700m, j’ai calculé plus de 1000m de dénivelé dont environ 400m à faire à l‘arrivée, il faut donc économiser les batteries.
Une chance pour nous les VAE Giant une fois lancés roulent très bien, nous nous aidons du moteur uniquement lors de fortes côtes, si bien que nous arrivons après 46km au plan d’eau des Vannades près de Manosque avec encore 95% de batterie. Ne sachant ce que le parcours allait nous réserver nous continuons à rouler un maximum sans assistance, la Brillanne, Oraison, arrivés aux Mées la fatigue commence à se faire sentir, il fait très chaud et nous buvons beaucoup, 72 km au GPS il en reste encore à faire. A présent il est temps d’utiliser le moteur le plus souvent possible, car il nous reste environ 40 km, les batteries tiendrons le coup. Nous passons Malajai, direction Volonne nous trouvons un super sentier VTT qui est censé faire le tour du lac, malheureusement nous sommes bloqués à un camping qui a barré ce chemin. Après Volonne il faut utiliser la batterie au maximum car une longue côte est à franchir. Nous arrivons à Sisteron que nous contournons pour éviter les montées. Les batteries sont encore bien pleines, nous pouvons nous mettre en mode sport pour terminer notre voyage jusqu’à Ribiers, nous avalons les derniers km et les derniers 400m de côte à grande vitesse. 119,8km au compteur et 1200m de dénivelé, il est 18h, 8 h sur le vélo, 10h en tout, il était temps que nous arrivions, heureusement nous aurons deux jours de repos avant de repartir.
Le vendredi 8 juillet, c’est le départ à 7h, parcours inverse, il pleut, il pleut même beaucoup, il fait froid, alors nous roulons pour nous réchauffer, dans un sens c’est mieux car nous avalons les km, je m’inquiète pour les batteries et les moteurs électriques, à cause de toute cette eau. Arrivés à Volonne la pluie s’arrête, nous sentons la chaleur arriver, les chaussures et les vêtements sèchent. Aux Mées nous décidons pour changer de prendre le canal EDF jusqu’à Oraison. Puis chemin inverse jusqu’au plan d’eau des Vannades, ça devient une étape à ne pas louper la bière est bienvenue, il est 12h15 et 70 km de fait, la moyenne est différente qu’à l’aller le profil du parcours est descendant et nous utilisons plus souvent l’assistance. Nous réalisons les derniers 46 km à une vitesse record pas d’arrêt jusqu’à Pertuis en mode normal puis en sport, sous une chaleur épouvantable, à Pertuis il faisait 37°.
120km comme à l’allée, 6h49 sur le vélo, au lieu de 8h, à une moyenne de 17,7km/h. Il restait 52% de batterie à Joëlle et moi 48%.
Belle aventure, nous savons à présent que nous pouvons envisager de belles balades à VTTAE, en mixant chemins et routes, mais certainement plus en pleine chaleur. Joëlle et Michel B
Robert nous a quittés le 21 avril après avoir passé de longs mois à l’hôpital suite à sa chute inexpliquée de décembre 2014.
Pour nous, ses amis du CCL, Robert était l'adhérent du premier jour. Il était là à la création du Club. Robert était un adepte du vélo de route, il avait un rythme régulier, une allure constante, il aimait bien les sorties moyennes et n’appréciait pas les longues distances. Avec l'âge, il avait rejoint le groupe des Tranquilloux qu'il animait volontiers.
Robert a longtemps fait partie du Comité Directeur du Club, nous pouvions compter sur lui dans l'organisation de nos manifestations comme le Forum des Associations, la Lambescaine et bien d'autres.
En VTT, il a arpenté avec nous tous les chemins autour de Lambesc. Il allait son petit train et ne commettait pas d'erreurs. Il était un modèle de régularité.
Robert avait aussi ce petit accent bien du Midi et il avait l'art de nous raconter des histoires qui n'en finissaient pas avec des rebondissements incessants.
Nous étions nombreux, membres du CCL mais aussi anciens membres pour assister à la cérémonie à sa mémoire en l'église de Lambesc. Ce fut une cérémonie simple et émouvante où nous avons appris des petits détails cachés de la vie de Robert: son enfance avec ses 4 frères au pied du Garlaban où ils ont fait de belles découvertes sur la nature et sur les traces de Marcel Pagnol, son auteur préféré. Comment il a fait la connaissance de Gisèle lors de surboums improvisées. Son ami Maurice a évoqué le sportif : les grandes randonnées pédestres, le ski et bien sur le vélo. Ses petits enfants qu'il adorait ont parlé d'un grand père patient, à l'écoute, d'une grande gentillesse.
Son coté artiste a aussi été évoqué, depuis longtemps Robert suivait des cours de peinture et d'encadrement. Nous avions a plusieurs reprises d'ailleurs admiré ses tableaux.
Tu nous quittes trois ans après Michel. Tu vas nous manquer l'ami Robert......
Paul
Balade autour du Lubéron
Cri, Michel B et Bernard L
Les cyclos campeurs
Vous trouverez ci dessous une sélection de photos de notre Tour du Luberon.
Cliquer que la première photo puis, soit avancer manuellement soit démarrer le diaporama.
Bonne visite
Michel B
Les chaussures du futur
Bonsoir à tous et particulièrement aux joggers
Mardi 22 décembre 2015: Thérèse est rentrée à la maison
Ce matin, visite des responsables VTT à notre amie Thérèse. Avec Claude, nous avons trouvé Thérèse bien installée dans son fauteuil, un gros plâtre sur la jambe mais elle garde le moral et avait bonne mine. Il est vrai que Christian est au petit soin pour elle. L'accident a eu lieu vers Charleval, accident bête comme d'habitude,une grosse ornière dans laquelle le VTT a glissé.
La rééducation sera un peu longue mais au printemps Thérèse aura retrouvé la forme.
Bon courage
Paul
Samedi 5 décembre, test VTT électrique Giant Hybrid.
Au sein du CCL nous voyons de plus en plus de VTT électriques, et beaucoup disent qu’ils y passeront un jour, moi y compris.
Malheureusement ma première expérience n’a pas été concluante, avec Joëlle un samedi nous sommes allés à APT, louer chacun un vélo électrique pour faire la Route de Ocres. Nous devions faire 50 km, le loueur très confiant nous rassure en nous confirmant que l’autonomie de ses vélos était de 70 km. Déjà septique sur l’allure des vélos, vélo de ville « déception se sont pas des VTT », avec batterie sous le porte bagage et un grand panier très pratique à l’avant pour mettre le sac à dos. Je cherche les vitesses, il n’y en a pas, au dire du loueur tout est automatique, il n’y a qu’à pédaler…
Je ne vais pas m’étendre sur ces vélos, mais il y a de quoi être dégouter de ces engins et nous n’avons fait que de la route, 40 km au compteur et il nous restait 17% de batterie, nous avons donc écourté pour rendre au plus tôt ces maudits vélos.
Il est vrai que je n’avais toujours pas roulé sur un VTT électrique, je comptais bien le faire un jour, et ce jour c’est aujourd’hui, car Christian dispose d’un VTT Giant hybride prêté pas un vélociste avec lequel j’ai pu rouler ce matin.
Je vais complètement oublier les vélos électriques et ne ferais aucune comparaison, car il n’y en a pas.
C’est un VTT Giant Hybride modèle 2014 avec batterie de 400w, moteur Yamaha, roues 27.5, position confortable, guidon large, leviers accessibles, tout suspendu, freins à disque, passage de vitesses manuelles, déjà je suis en confiance, je m’y retrouve dans ce VTT. Quelques tours de roues vendredi après midi pour m’habituer, trois positions de puissance, sport, normal et eco.
En me levant samedi matin, il pleut, j’hésite un moment le VTT est archi propre, et je ne vais pas manquer de rouler dans la boue, mais l’occasion de rouler avec ce beau VTT ne me fait pas hésiter longtemps. Je me souviens qu’à APT j’avais eu froid, car avec l’assistance électrique nous transpirons beaucoup moins, alors je mets 4 couches de vêtement, dont un coupe vent jaune, je protège mon sac à dos et c’est parti sur un parcours que j’avais fait jeudi dernier.
Au début sur la route 25km/h facile, ma première côte je surveille le compteur plus j’appuie plus ça consomme, j’arrive à trouver le bon équilibre, j’arrive très vite par rapport à mon VTT, sur un chemin de terre, toujours entre 24 et 25km, même sur un faux-plat ou habituellement il faut vraiment pousser sur les pédales, j’avale les KM. Très occupé à regarder mon compteur de consommation, et tester les différents niveaux d’assistance, je suis surpris d’être déjà arrivé à la barrière sur la route d’Eguilles.
Maintenant le terrain va changer, une première côte sur terrain défoncé, le compteur est au maximum, j’essaie de réguler en passant les vitesses. J’arrive dans une descente, puis sa remonte, une autre descente, tout ceci à grande vitesse, c’est là que je me rends compte que je prends confiance, le VTT répond formidablement. Puis arrive une grande côte qui s’accentue au fur et à mesure, ça monte tranquille, je trouve le bon équilibre, je décide de prendre un single montant vers le Mazet, et là première surprise, la roue avant rebondie très fort sur un rocher, je me retrouve en travers, la roue avant dans les chênes kermes , OK il faudra faire attention.
Après avoir beaucoup roulé en mode normal, je trouve que je ne pédale pas assez, je passe en mode ECO, j’y resterai jusqu’au bout, dans ce mode nous sommes assistés mais il faut pédaler plus fort qu’en normal, cette position me convient.
Je passe sur le pont du TGV, puis je prends une succession de singles qui vont m’amener à Camaïs, toujours dans un single montant, encore sur un rocher je me retrouve de nouveau en travers, carrément éjecté du single, pourtant je connais bien tous ces passages et ça ne m’est jamais arrivé avec mon VTT.
Je prends la direction de la maison en empruntant le long single ouvert par le cyclo club d’Eguilles, je me régal, le VTT est maniable et très stable même dans les descentes techniques.
J’arrive à la maison en ayant battu tous les records sur ce parcours que je connais bien, j’ai fait 26 km j’ai consommé moins du quart de la batterie.
Verdict : J’ai roulé vite, je n’ai pas transpiré, j’ai gardé mais 4 couches de vêtement tout le long.
Quant au VTT, couvert d’une épaisse couche de boue, il a été formidable, d’une efficacité que je ne soupçonnais pas, stable et confortable. Mais attention, c’est un vrai VTT ne pas se laisser griser, nous roulons beaucoup plus vite, alors attention à la gamelle.
Je ne vais pas encore en acheter un, ça viendra certainement, mais je garderais un super souvenir de cet essai. Ce Giant est un formidable vélo, mais j’aimerais en tester d’autres.
Maintenant je pense à nos sorties, ou certains ont des VTT électriques, nous ne jouons pas dans la même catégorie, je le conseil tout de même, lorsque les années passent, ça permet de rester avec les copains.
Michel B
L’EuroVelo 6 (EV 6), également dénommée « la route des fleuves », est une vélorouteEuroVelofaisant partie d’un programme d’aménagement de voie cyclable à l’échelle européenne. Longue de 3 653 km elle relie Saint-Brevin-les-Pins en France à Constanțaen Roumanie. L’itinéraire traverse ainsi l'Europe centrale et de l’ouest de l'océan Atlantique à la mer Noire en suivant le cours de trois des plus grands fleuves européens, la Loire, le Rhin et le Danube en passant successivement par dix pays, la France, la Suisse, l'Allemagne, l'Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Bulgarie et la Roumanie
Les Participants à cette aventure.
Jean Pierre / Daniel pour le club de Coudoux et Dany / Christian / Claude Pour le CCLambesc
C’est donc ce que nous avons fait pendant 5 ans depuis 2011, en 5 périodes de 20 jours, du 20 Aout au 10 septembre environ.
L’équipement était le suivant.. VTT + Sacoches de 13 KG environ.
Voiture / train ou Avion pour rejoindre les points de départ ou pour le retour.
le soir c’était Hôtel / chambres d hôtes / Camping/ auberges de jeunesse………………
Les années précédentes nous avions suivi le Danube de sa source en Allemagne jusqu'à son delta en Roumanie et la ville de Constanta .Nous avions traversé l’Allemagne / L’Autriche / La Hongrie /La Slovaquie / La Croatie / La Serbie/La Bulgarie et pour finir la Roumanie
Si la partie jusqu'à Budapest en Hongrie est bien fléché la suite est une autre histoire car c’est véritablement l’aventure et parfois nous nous demandions ou nous allions passer la nuit et si l’on trouverait à se nourrir …..Mais les gens sont accueillants
Cette année donc nous avons terminé cette vélo route 6 par la portion qui nous manquait c'est-à-dire Nantes / Bales. Au total 1450 km en suivant La Loire / Les canaux du centre et de Bourgogne / la Saône / Le Doubs et pour finir le Rhin.
Claude G.
Coucou les amis,
Bientôt le retour, ici on creve de chaud, 34°, le contraste va etre terrible.
A bientôt, prêt a faire du vtt une petite pointe de douleur a l épaule mais ça baigne
Les deux billon en Nouvelle Zélande
Essai : Le Tourmalet en VTT Assistance Electrique
(VAE Scott Spark e-720.)
Pendant la cure de ma femme a Barèges, j'en ai profité pour tester le VAE en Haute montagne du 13 au 18 octobre, le beau temps était de la partie . Sur route. par l'ancienne route "Laurent Fignon" interdite aux voitures (éboulements), montée tranquille avec assistance normale, arrivée en haut usure de la batterie a moitié. par contre descente rapide du fait du poids de l'engin , mes freins Shimano "première monte" ont souffert, le disque était bleui a l'arrivée. Des Vététistes de Tarbes en VAE (2 Haibikes et 1 Moustache) rencontrés lors d'une autre montée en foret, m'ont confirmé qu'il fallait mieux comme eux, avoir des disques de 203 mm. En descente, bonne maniabilité de mon Scott dans les épingles. En conclusion si vous voulez faire du VAE en Montagne, choisissez de bon freins.
Avec quelques photos d'animaux en liberté sur les pentes du Tourmalet
Alain, le trésorier.
Un bonjour du pays de Vizenco Nibali où la montée de l'Etna n'a rien à envier à notre mont Ventoux @+ sur le vélo.
Rémi P
Bonjour de Papeete
Salut le CCL,
Bonjour de Dordogne
Désolé, j'ai trahi l'esprit VTT, j'ai fait de la route sous la menace de
mes deux voisins. Mais on s'est bien amusés à Saint Pompon (c'est le
vrai nom du village)
Avec toutes les amitiés des Périgourdins
Domi, Michel, Roland
Un petit coucou de Papeete
Bonjour le CCL,
J'ai bien reçu le bonjour de l'AFR076 (Christophe pilote de ligne) de votre part il y a 15 jours 3 semaine et vous en remercie. Ici tout va bien et je suis vos activités via le site ...
En pj une photo prise un matin de mon "bureau" peu après l'atterrissage de l'AFR076 !
Je vous envoie mes amitiés et surtout vous en voudrai si l'un de vous passe par Papeete sans me le dire !
Amicalement
Franco Angela et Marie
Petit coucou de nos amis "Tahitiens"
qui nous propose de faire l'AG 2014 sur une plage du pacifique
je le proposerai aux membres du bureau à la réunion de vendredi prochain
il faut rêver de temps en temps, même au CCL
Merci à Angela et Franco, nous leur envoyons un petit coucou
de Lambesc et du club
Gépétto
Hello Bernard,
Je ne vous ai pas oublié et je suis régulièrement la vie du CCL par mail et visite du site, d'ailleurs je te confirme que je ne pourrai pas participer à la prochaine AG à moins que tu la délocalise à Tahiti ! ;-))
Ici tout "roule", j'ai fait une croix sur le vélo ( trop de circulation ici ) mais me suis mis au footing et donc le cuissard du CCL court à Papeete.
Nous sommes rentrés de métropole le 27 août, mais lors de mon bref passage à Lambesc ( 10 jours y compris le mariage de mon fils aîné Pierre ), je n'ai eu l'occasion de parler qu'avec Jacques à CASINO et ai aperçu Jeannot et Jean Marie rentrer à vélo vers Rognes un mardi midi.
Mes amitiés à vous tous et longue vie au CCL !
Angela et Franco